Nagy Francia Enciklopédia - Táblagyűjtemény 5. kötet, 1767 (Suite du recueil de planches, sur des sciences, des arts libéraux et les arts de méchaniques, avec leur explication)
ARTS MÉCHANIQUES - Fonderie des canons
FONDERIE DES CANONS. DB demi-longueur de l’aiffieu. 5 B longueur d’une fufée. a b largeur de l’aiffieu &c de la felette. 4, 5 longueur de la felette. E F petit bout des limonieres qui paflent derrière la felette. E T , F V longueur des limonieres. i l longueur de l’entretoife. K I L liens. G H longueur de l’épars, b c diftance entre l’ailîieu & l’épars, c d largeur de l’épars, d c diftance entre l’épars & l’entretoife. t f largeur de l’entretoife. iQ,/R longueur jufqu’aux ragots. QR les ragots. QT. R V longueur depuis les ragots jufqu’à l’extrémité des limonieres. D cheville ouvrière qui eft reçue dans l’ouverture de l’entretoife de lunette. M plaque de felette. m n les fayes. 4 & 5 liens de felette. 3 trou pour recevoir l’S. On a coupe cette roue pour laiffer voir de combien elle eft écouée. 2 anneau d’aiffieu. 5. L’avant-train en élévation. A B longueur de l’aiflieu y compris les fufées. K L la felette qui repofe fur l’aiffieu & y eft fixée par les liens 4,1: 5 , H , & par les fayes. E F petits bouts de limonieres arrêtées par les contre-fayes. S S les brebans. C D la cheville ouvrière qui pafte par l’aiffieu, la felette & la plaque M , & eft arrêtée en C par une clavette après qu’elle a pafte à travers l’anneau qui reçoit les crochets des équignons dont les fufées font garnies, ainfi que de heurtequins. 6. Démonftration ou épure du trait d’une flafque. 7. Lignes proportionnelles aux cinq calibres de l’ordonnance de 1732, &c repréfentant les têtes des affûts qui conviennent à ces différens calibres. Toutes ces Planches fur l’art de la fonte des canons font de la compofition de M. Gouffier ; on peut compter fur leur exa&itude. Les mefures omifes dans cette defcription qui eft du même auteur , pourront fe fuppléer par les échelles qui font au bas de chaque Planche ; avantage dont on eft privé , lorfque les defteins d’un art n’ont pas l’exaélitude néceflaire. A'0, 2.n