Egyetemes Filológiai Közlöny – XIII. évfolyam – 1889.

V. Fordítások - Petőfi, Az őrült, latinra ford. Hegedüs István

732 ST. HEGEDŰS. server des maladies contagieuses, ma patrie doit l'employer plus volon­tiers que tout autre, puisqu' elle est obligée, pour se repeupler, de rece­voir tous les ans des milliers d'habitants de l'Allemagne et surtout de la Suave. Il est aisé de voir combien la petite vérole et la peste y empor­tent de monde, et quels ravages elles font, par la quantité de lieux déserts et inhabités qui s'y rencontrent partout. Il est vrai que l'on doit attribuer une partie de cette dépopulation à l'humeur guerrière des habitants, qui les détermine à combattre dans leur pays et pour les étrangers, et à la sévérité des lois qui punit rigoureusemet tout commerce illégitime avec les femmes. Nous ne pouvons mieux faire, en finissant, que de refuser le nom de Médicins à ceux qui se laissant emporter par leurs hypothèses, adaptent atout propos sans raison le Ό-εΐόν τι d'Hippo­crate. Ez az egyedüli czikk, a melyet e két folyóiratban Magyarországról találtunk; de a XVIII. század külföldi forrásai közt még jelezünk egy hosszabb czikket a Wieland Neuer Teutscher Mercurjában (1798) «Frei­müthige Bemerkungen eines Ungare über sein Vaterland» czím alatt. KONT IGNÁCZ. INSANUS. — AZ ŐRÜLT. — Petőfi. — Me quid turbatis ? Inde matúra te fugam nunc ! Magna moliens iam propero. Nectam flagellum, ex solis radiis flagellum : Flagello caedam mundum ! Mox fiebunt illi, cachinnabor ego, Sicut me fiente illi sunt cachinnati. Hahaha ! Nam est vita talis . . . flemus, mox ridemus. Sed mors veniens dicet : Pax ! Olim iam mortem et ipse obii, Venenum illi mihi bibenti Fuderunt qui vinum exbauserunt. Et quid sicarii fecere, Dissimilaturi facinus ! Me positum in lecto funebri Amplexi conlacrimaverunt.

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